Mlle la Directrice

Nom: Saxton
Prénom: Sévérine
Age: 20 ans
Orientation sexuelle: Hétéro

Caractère: Sévérine a toujours été une personne très douce. Malgré les traitements infligés par ses parents, elle n'a jamais démontré le moindre signe d'agressivité. Cela était contre sa nature. Sévérine est très ordonnée et est une érudite. Enfin, autant que sa maigre éducatin peut lui procuré. Elle adore apprendre et étudier et si la vie lelui aurait permis, elle serait surement devenue avocate.

Description physique: Sévérine a un style vestimentaire très sobre composer de couleur comme le noir, le vert foncé, le rouge et le brun. Elle a une silouhette élancée, de belles formes et qui ne laisse personnes indifférent. Ses long cheveux d'ébène, ses yeux marrons, ses lèvres pâle, et sa peau pêche lui donne un beau charme.

Histoire: 10 novembre 1986

Mon père m'a encore violé cette nuit. Et en essayant de me défendre, il m'a donner un coup de poing dans le ventre. J'ai un énorme bleu a cet endroit. Depuis que j'ai 10 ans, mon père me rend visite a chaque soir, a la même heure. Il m'a dit que c'était a cause de ma mère. Elle ne voulait plus de lui. Alors, il a voulu de moi. Maman, elle, n'a pas arrêter de boire depuis ma naissance qui n'était pas voulue. Mes parents me garde enfermé dans la maison, ne me laissant plus aller a l'école. Mais cela fait trop longtemps que j'endure tout sa. Je veux avoir un avenir moi, je veux pouvoir faire quelque chose de ma vie. C'est pour sa que j'ai décider de m'enfuir avant que mon père ne vienne dans ma chambre. M'en allée de cette prison.


11 novembre 1986

Sa y'est. Je suis enfin partie. J'ai laisser ces mort-vivants de parents dans cette tombe qui est maintenant la leur. Je suis partie exactement 1 heure avant que mon père ne décide de venir dans ma chambre. Il dort a peu près tout le temps. Et ma mère était sortie se saouler comme a chaque soir. Je suis maintenant dans l'ancienne usine de chaussure. Personne ne viendra me chercher ici. Je vais enfin pouvoir vivre.


13 novembre 1986

Une idée m'est venue en parcourant l'usine abandonnée. J'ai pensée qu'il y a surement d'autre jeune comme moi qui vivent dans des situations pas vivable en fait. D'autre jeune qui veulent vivre eux aussi, loin de leurs parents ou de leurs source de problèmes. OU des jeunes qui veulent aussi vivre, mais qui ne veulent pas demander de l'aide ou qui ne savent pas comment. Plus j'y pense, plus je me dis que c'est exactement ce qu'il me faut pour me donner un but. Et mon but, ce serait d'aider mes semblables. De faire un internat pour que les jeunes puissent vivre.


20 novembre 1986

Mon projet s'est mis en marche. Je suis aller voir le maire de la ville (oui oui , jte jure) et je lui ai soumis mon idée. Il a beaucoup aimé. Il m'a même dit qu'il allais m'aider ! Lestravaux de construction vont commencer d'ici quelques semaines. Je fais déja un peu de ménage. Il n'y a pas grand chose a faire, seulement un coup de peinture et quelques aménagements. J'ai hâte d'ouvrir mon Internat. Et je lui ai déjà trouver un nom: Internat Safety. Safety pour sécurisant. Pour la vie.


20 novembre 1987

Exactement 1 an après avoir écrit pour la dernière fois, les travaux sont finis. L'Internat est maintenant très bien et dans les teinte de brun, noir, vert et blanc. J'adore. J'en suis la directrice officiel. Malgré mes 18 ans, et mon expérience zéro, je me débrouille bien. Il y a bien sur plusieurs personnes qui m'aident pour l'administration et tout ces trucs. Nous allons ouvrir l'Internat dans quelques mois. Je ne tiens plus en place.


15 février 1988

Nous avons commencer la publicité pour l'Internat. Il y a un article dans le journal a chaque jour et des dépliants dans les commerces. Bien sur, ce ne sont pas les parents qui viennent inscrire leurs enfants. Jusqu'à maintenant, ce sont des jeunes ado qui sont venu. Ou sinon, des proches des ado concernés. Nous avaons prévu ouvrir officiellement l'Internat au moins de septembre ... je trouve que c'est trop long pour les jeunes qui veulent avoir une meilleure vie. Mais bon, j'espère qu'ils vont tenir le coups encore quelques mois.


17 mars 1988

Aujourd'hui, une petite fille est venue demander l'hospitalité. Il pleuvait de grosses cordes et la pauvre petite avait l'air d'avoir été battue. Elle semblait avoir pas plus que 10 ans, mais je découvris plus tard qu'elle en avait en fait 15. Je l'ai ammener dans la salle de réunion et nous avons discuté. Elle m'a racontée qu'elle s'était enfuie de chez elle, parce que son père la battait et la violait depuis plusieurs années. Sa mère avait disparue depuis quelques mois et la police ne l'avait toujours pas retrouvée. Ses amis lui demandaient souvent si tout allait bien chez elle, et elle répondait toujours oui, ayant peur que son père ne la batte encore plus si il venait a savoir qu'elle avait dit leur situation. N'en pouvant plus, elle s'enfuya de chez elle et depuis maintenant plusieurs semaines, elle erre dans les rues. Ce n'est que par hasard qu'elle a su l'existance de l'Internat. Elle est vite venue pour demander d'y rester jusqu'a l'ouverture. Avant d'aller se coucher, je lui ai demander son nom. Elle m'a dit en me regardant de ses magnifique yeux vert clair:

- Je m'appelle Mélodie ... parce que je suis comme une chanson ... c'est sa que ma mère me disait tout le temps ...

Et avec son regard infiniment triste, elle est partie se coucher. Cette petite fille, même si en fait, elle est une ado, m'a fait penser a moi, il y a a peine 2 ans. J'ai décider de la garder a l'Internat et d'en faire ma première pensionnaire.


1er septembre 1988

L'Internat a ouvert ses porte aujourd'hui. Mélodie est venue accueillir les élèves avec moi. Tout le monde pensait que c'était ma fille. Cela m'a fait sourire. Mais Mélodie, elle, n'a pas beaucoup aimé sa. Elle m'a dit, sans méchanceté, que même si elle m'aimait bien, elle voulait retrouver sa mère au plus vite. Je l'ai rassurée en disant que je la comprenait et que je n'étais pas fachée ni vexé. Elle m'a sourit un peu et s'est enfermée dans sa chambre. Avec Mélodie, il faut faire attention a ce que l'on dit. Elle est très sensible. Maintenant que l'Internat est vraiment ouverte, mon rêve s'est enfin achevée. Maintenant, il me faut le continuer. Faire que le plus de jeunes possibles reprennent goût a la vie.

20 spetembre 1988

Cela fait 20 jours que l'Internat est ouvert. Nous avons Méodie et Matthew comme pensionnaire officiel. J'en suis contente. Mais, j'ai encore eu une crise. J'étais dans mon bureau quand cela s'est produit. J'ai repenser a mes parents et je suis retournée dans mon brouillard noir. Ce maudit brouillard qui me suit depuis bientot 10 ans. Je n,ai aucun reprère. C'est comme s'il faisait nuit. Sans lumière, a peine pour que je puisse marcher et me voir. Même si je cris, personne ne m'entend. Et il y aussi ce vent qui n,arrête pas de hurler dans mes oreilles. Il n'arrête pas de souffler dans mon brouillard sans le dissiper. Je croyais qu'en partant de chez moi, le brouillard partirait lui aussi. Mais il est rester. Ce n'est plus un petit monde pour se reposer, c'est devenu un cauchemar. Je vais en mourir. J'en suis certaine. Si quelqu'un pourrait m'aider ...


Signes particulier: Elle porte des Lunettes et a une broche très précieuse pour elle attaché a son colet d'uniforme.